Gala d’Ouverture : perdu dans la rêverie de Fitzgerald
· Gala d'ouverture pour la saison 23/24 de l'Opéra de Paris ·
Depuis cette nuit-là, dans l’éclat des étoiles, réside un enchantement éternel.
Depuis cette nuit-là, dans l’éclat des étoiles, réside un enchantement éternel.
Je suis ravie d’avoir changé d’avis et de décider d’y assister finalement, car la chorégraphie de Béjart est vraiment un spectacle qu’on ne doit pas manquer.
La danse est un langage sans voix. Dans ma loge du quatrième étage, les expressions du visage des danseurs ne sont pas claires, sauf avec des jumelles. Néanmoins, les danseurs sur scène nous donnent fortement les émotions des personnages dans Mayerling.
« Bravo, Stépahne ! » La salle de spectacle devint étincelante pendant que des paillettes s’éparpillaient sur le toit de la scène. L’ovation debout durait presque vingt minutes parce que les spectateurs ne furent pas préparés de dire les adieux à ce danseur Étoile merveilleux.
La chorégraphie de Rudolf mis en scène par le Ballet Opera de Paris est jusqu’ici celle qui montre l’air le plus gamin de cette histoire d’amour tragique.
De plus, je peux enfin redevenir une élève de ballet à temps partielle.
Il y a un an que les théâtres sont fermés. Dès leur réouvertures à partir du 19 mai, la première production de ballet produite par l’Opéra de Paris pour accueillir son spectateurs dans l’auditorium est une belle œuvre rendant hommage à Roland Petit, un respectable chorégraphe français.